Dombrance n'a qu'un projet : faire danser la France !
Armé de son cannon à confettis et de sa plus belle moustache, l'homme fait rimer politique et clubbing.
Surréalisme et efficacité
Au creux d’une nuit de fièvre hallucinée, Dombrance tripote ses machines dans son studio parisien et entend ainsi une voix s’inviter, comme un fantôme aberrant, sur ses méchants beats. La voix hallucinatoire répète un mantra surréaliste : « François Fillon, c’est François Fillon ». Il émane de cette hallucination de l’absurde et du profond, un truc surréaliste et loufoque, d’une efficacité dingue. L’évidence surgit : c’est ici que se dessine l’avenir de la Nation, et d’autres fameux tribuns (Raffarin, Taubira, Poutou, Giscard…) rejoindront le mouvement.
Pour une France qui danse
Remixeur hors pair, Dombrance utilise sa science de la musique pour délivrer des morceaux en démentielles montagnes russes, où se télescopent disco, techno, funk, pop, où se fomente en permanence la montée vers l’hystérie collective. Ainsi naît un projet électoralo-musical fou !
Le premier morceau a révélé un Raffarin en Premier Ministre du Bonheur Épique et Multicolore sur un single fuselé comme un imparable tube. Un hymne new disco, sorte de cocktail improbable entre Soulwax, Vladimir Cosma et Jean Michel-Jarre.
Avec le second single Taubira, Dombrance a voulu traduire le spleen et l’impuissance face au sexisme, l’homophobie et au racisme que l’ancienne ministre a pu cristalliser.
La campagne musicale de Dombrance se poursuit en 2021 outre Atlantique avec le projet Make American Dance Again
©SebastienDolidon